voilà donc le fameux freezer-drier, pièce maîtresse du nouveau laboratoire de conservation dont l’Université est très fière, même s’il a été financé par des fonds privés.
Auteur : amelie
une université au milieu des champs de maïs
un champ de maïs : c’est la première chose que je vois tous les matins quand le soleil levant me réveille (tôt, je suis juste après la ligne de passage à l’heure “centrale”). après vingt minutes de marche le long du luxueux parc de recherche (financé par Motorola et d’autres comme State Farm, qui n’est pas l’organisme central résultant de la collectivisation des terres agricoles, mais une compagnie d’assurance) et des différentes enceintes sportives, deux élements essentiels d’un campus universitaire nord-américain, j’arrive à la bibliothèque, située au coeur du campus proprement dit, lui-même étant à cheval sur les deux villes d’Urbana et de Champaign (ainsi nommée parce que le paysage de la région aurait des ressemblances géologiques avec la Champagne. Dans la mesure où tout ici est plat et surtout qu’il n’y a pas de vignes mais du maïs, donc, j’ai du mal à voir ladite ressemblance).
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l'ifla à Séoul
salut à tous,
aujourd’hui mardi, le congrès de l’ifla à Séoul en est déjà à mi-parcours. il y a beaucoup de monde de partout dans le monde, avec des séances de travail, des débats et des réceptions dans tous les sens. j’essaie de prendre plein de photos et je vous prépare un compte-rendu dès que je rentre (ou plutôt dès que je peux enfin me poser aux états-unis)
à bientôt,
amélie
ps1 : vous remarquerez que j’ai récupéré les accents, malheureusement sur un clavier coréen configuré en québécois : cad qwerty avec des accents cachés derrières des touches inhabituelles
ps2 : pour répondre à Anne, les deux premiers jours j’étais un peu appréhensive par rapport à la cuisine coréenne, mais depuis je me suis habituée, et c’est très bon. certes, on n’évite pas quelques surprises (comme la galette de pommes de terre aux tentacules de poulpe) mais à partir du moment ou j’ai appris à maîtriser les baguettes un minimum et à ne pas me servir dans les plats trop rouges, je me suis régalée
arrivee a Seoul
depuis hier a Seoul, et trois constats :
– c’est tres grand
– il fait tres chaud et tres humide
– personne ne parle anglais, meme pas les jeunes. et, mis a part dans le metro, pas de translitteration nulle part